dimanche 19 février 2012

19 février 2012


Vous avez dit récusation?


A vrai dire ce n'est pas une surprise. La défense de TOTAL a menacé à plusieurs reprises durant le procès: nous sommes victimes de l’impartialité de la Cour, nous quitterons le procès. Contrariés de l'évolution des audiences, elle cherche une porte de sortie. Ainsi elle vient de trouver une opportunité: à partir d'une proposition de réorganisation des prochaines audiences suite à l'indisponibilité circonstancielle de la salle Jean Mermoz. Les violents éclats  de voix ont été la seule réponse pour un agenda qui pouvait être discuté. Un stratagème pour reprendre en main un procès révélateur.
Précisons que la Cour n'est pas partiale, elle a permis une grande liberté d'expression des parties en présence; d’éclaircir certains points  gênants pour la défense,  un aboutissement à la stratégie récurrente de la diversion ?

mardi 14 février 2012

Audience du 14 février 2012

Audition de M. PANEL( chef du secteur nord de l'usine):



Audition des membres du CHSCT(Comité d'Hygiène et de Sécurité de l'usine)

jeudi 9 février 2012

audience du 9 février 2012


Audition de M. GUILLAUME responsable de la société de sous traitance SMIP


mercredi 8 février 2012

audience du 8 mai 2012


 Suite des interrogatoires des membres de la CEI (Commission de la l'Enquête Interne)
Télécharger les 3 auditions

audition de M. DOMENECH


audience du 8 février 2012


NOTRE VÉCU DE L'AUDIENCE 2012
ANALYSE SOMMAIRE


  1. A PROPOS DES TÉMOIGNAGES DES EX SALARIES DE L'USINE
        • RAPPEL
  • A partir du dossier d'information on avait déjà pu se rendre compte que bon nombres de salariés, étaient revenus sur leurs premières déclarations, au fur et à mesure de l’avancement du procès pénal.
  • Au procès 2009 davantage encore, jusqu'à la négation pure et simple.
        • DANS LES AUDIENCES DE 2012
On a assisté dans la quasi totalité des témoins anciens employés sur le site:
___soit à des témoignages appliqués allant dans le sens des intérêts de la défense
___soit à une amnésie partielle, voire même totale
___soit à une mémoire inexistante sur les questions des parties civiles, mais retrouvée efficacement au moment des questions de la défense.

2. SUR LE DÉROULEMENT DES AUDIENCES


Jusqu'ici le tribunal à veillé à une égalité des droits de l'accusation comme de la défense. Il a permis une expression complète des parties en présence, une connaissance plus approfondie de l'affaire AZF, aux prix parfois de longueurs d'audiences démesurées. Cela s'est traduit par un éclairage des points restés obscurs en première instance.

3.  ET MAINTENANT C'EST AU TOUR DE LA CEI


Rappel: cette Commission d'Enquête nommée par TOTAL est passée bien avant la police sur différents lieux du site, en particulier dans l'atelier 335, véritable scène du crime. Ce faisant elle a recueilli avant l'enquête officielle les premiers témoignages des principaux acteurs de ce drame, modifié l'état des lieux ce qui est normalement puni par le code de Procédure Pénal; laissé disparaître volontairement les pièces à conviction
.
Ils reviennent témoigner aujourd'hui
Dans le maquis de leurs déclarations contradictoires, parfois mensongères, nous tenterons d'éclairer le tribunal sur des comportements qui relevaient selon nous d'entrave à la justice.

4. SUR LA MANIFESTATION DE LA VÉRITÉ

Elle aura été longue à établir, cela parce que la CEI , TOTAL l'ont cachée et qu'elle engage la responsabilité du Groupe. Aidés en cela par les employés de l'usine, par leur passivité, leurs déclarations versatiles ou la négation des faits.











mardi 7 février 2012

audience du 7 février

Interrogatoire des membres de la CEI (Commission de l'Enquête Interne)
Télécharger les 2 interrogatoires



interrogatoire de M.MACE DE LEPINAY


interrogatoire de M.PEUDPIECE





dimanche 5 février 2012

jeudi 26 janvier 2012

jeudi 26 janvier

Divers - encadrement par sa hiérarchie de M. FAURE dans ses témoignages

Télécharger les dossiers/
audition de M. SIMARD
 audition de M. PINHEIRO

mercredi 25 janvier 2012

Audience du 25 janvier

Divers- encadrement par sa hiérarchie de M.FAURE dans ses témoignages
télécharger les documents ci-dessous:
audition de M. ALBUCHER
audition de M.PAILLAS

audition de M. ANGLADE


audition de M.DELAUNAY

mardi 24 janvier 2012

jeudi 19 janvier 2012

Audience du 19 janvier

Dossier FAURE

Audience ce jour de M. FAURE, employé de la SURCA( société de sous traitance) qui est intervenu le 21septembre en déversant une benne au 221.
Télécharger le dossier ci-dessus

mercredi 18 janvier 2012

dossier MAILLOT


audition ce jour de M.MAILLOT. Télécharger le dossier ci-dessus

audience du 19 janvier

dossier GELBER

audition ce jour de M.GELBER.
Télécharger le dossier ci-dessus

jeudi 5 janvier 2012

audience du 5 janvier 2012

Communiquer de presse


Le procès en appel de l'explosion de AZF est à mi- parcours.
les audiences sont une nouvelle épreuve pour les associations de victimes qui doivent faire face à la stratégie exponentielle de la défense de TOTAL dans sa pratique de la diversion.

La tension est entretenue par des simulatrions de grosses colères, la menace de quitter la salle d'audience dès que leurs prétentions sont contestées, voire par la mise en cause de l'impartialité du tribunal.

C'est au sol, dans les airs que les prévenus et leurs défense présentent tous azimut des hypothèses d'explosion, tout en se trouvant pour chacune d'elles dans l'impasse quand il s'agit de les argumenter plus sérieusement. Et ceci dans l'incohérence, parfois même sans se soucier du lien avec l'explosion de l'atelier 221. Ainsi en deux mois de procès les causes du sinistre se sont situées dans leur logique ondulatoire: à la SNPE, dans les phènomènes précurseurs, dans la renaissante piste électrique, maintenant dans l'attentat à 99,9%. Tout cela avec l'appui démeusuré de leurs "experts témoins" qui arrivent à se contredire eux-mêmes et entre eux, dans une même audience.

Cette volonté d'alourdissement du procès est relayée par quelques parties civiles, qui font citer un grand nombre de témoins et scientifiques ayant oeuvré dans le dossier d'information dans l'intérêt de la défense de TOTAL. Tout est bon y compris les "insuffisances de l'enquête judiciaire", voire même l'intégrité des fonctionnaires de police; ou encore le témoignage à la barre de l'ancien juge BRUGUIERES, pour que d'une certaine manière sa qualité de anti-terroriste soit associée au moins dans les esprits à l'affaire AZF.

Il est cruel pour les associations de victimes de constater que le groupe TOTAL, n'hésite pas à chercher à faire porter par une victime employée sur son site, sa préférence sur le grand déballage de ses hypothèses de l'attentat.

Les associations de victimes dénoncent l'attitude négative et irresponsable du Groupe dans la recherche de la vérité; qui avec les énormes moyens dont il dispose, n'a jamais pu étayer la moindre parcelle de preuve sur ces hypothèses, tout en rejetant la thèse qui l'accuse, celle de l'accident chimique. Elles notent que beaucoup d'éléments dans ce procès, mettent en cause de fiabilité de l'industriel, en particulier dans l'explotation du stokage de ses produits chimiques. Elles appellent en conséquence les populations riveraines des complexes iondustriels du groupe à la plus grande vigilance.