jeudi 26 janvier 2012

jeudi 26 janvier

Divers - encadrement par sa hiérarchie de M. FAURE dans ses témoignages

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audition de M. SIMARD
 audition de M. PINHEIRO

mercredi 25 janvier 2012

Audience du 25 janvier

Divers- encadrement par sa hiérarchie de M.FAURE dans ses témoignages
télécharger les documents ci-dessous:
audition de M. ALBUCHER
audition de M.PAILLAS

audition de M. ANGLADE


audition de M.DELAUNAY

mardi 24 janvier 2012

jeudi 19 janvier 2012

Audience du 19 janvier

Dossier FAURE

Audience ce jour de M. FAURE, employé de la SURCA( société de sous traitance) qui est intervenu le 21septembre en déversant une benne au 221.
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mercredi 18 janvier 2012

dossier MAILLOT


audition ce jour de M.MAILLOT. Télécharger le dossier ci-dessus

audience du 19 janvier

dossier GELBER

audition ce jour de M.GELBER.
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jeudi 5 janvier 2012

audience du 5 janvier 2012

Communiquer de presse


Le procès en appel de l'explosion de AZF est à mi- parcours.
les audiences sont une nouvelle épreuve pour les associations de victimes qui doivent faire face à la stratégie exponentielle de la défense de TOTAL dans sa pratique de la diversion.

La tension est entretenue par des simulatrions de grosses colères, la menace de quitter la salle d'audience dès que leurs prétentions sont contestées, voire par la mise en cause de l'impartialité du tribunal.

C'est au sol, dans les airs que les prévenus et leurs défense présentent tous azimut des hypothèses d'explosion, tout en se trouvant pour chacune d'elles dans l'impasse quand il s'agit de les argumenter plus sérieusement. Et ceci dans l'incohérence, parfois même sans se soucier du lien avec l'explosion de l'atelier 221. Ainsi en deux mois de procès les causes du sinistre se sont situées dans leur logique ondulatoire: à la SNPE, dans les phènomènes précurseurs, dans la renaissante piste électrique, maintenant dans l'attentat à 99,9%. Tout cela avec l'appui démeusuré de leurs "experts témoins" qui arrivent à se contredire eux-mêmes et entre eux, dans une même audience.

Cette volonté d'alourdissement du procès est relayée par quelques parties civiles, qui font citer un grand nombre de témoins et scientifiques ayant oeuvré dans le dossier d'information dans l'intérêt de la défense de TOTAL. Tout est bon y compris les "insuffisances de l'enquête judiciaire", voire même l'intégrité des fonctionnaires de police; ou encore le témoignage à la barre de l'ancien juge BRUGUIERES, pour que d'une certaine manière sa qualité de anti-terroriste soit associée au moins dans les esprits à l'affaire AZF.

Il est cruel pour les associations de victimes de constater que le groupe TOTAL, n'hésite pas à chercher à faire porter par une victime employée sur son site, sa préférence sur le grand déballage de ses hypothèses de l'attentat.

Les associations de victimes dénoncent l'attitude négative et irresponsable du Groupe dans la recherche de la vérité; qui avec les énormes moyens dont il dispose, n'a jamais pu étayer la moindre parcelle de preuve sur ces hypothèses, tout en rejetant la thèse qui l'accuse, celle de l'accident chimique. Elles notent que beaucoup d'éléments dans ce procès, mettent en cause de fiabilité de l'industriel, en particulier dans l'explotation du stokage de ses produits chimiques. Elles appellent en conséquence les populations riveraines des complexes iondustriels du groupe à la plus grande vigilance.